Les réflexes archaïques
« À l’origine : la solution »Les réflexes archaïques, ou réflexes primitifs, sont des mouvements automatiques involontaires que l’on peut observer chez le nouveau-né. Un mouvement-réflexe persistant au delà de l’âge de 2 ou 3 ans est dit « non intégré ». Il va surcharger le système nerveux et entraver son fonctionnement. Les domaines physique, émotionnel et cognitif vont être impactés : dyslexie, hyperactivité, troubles du comportement, difficultés motrices ou des apprentissages, déficits posturaux, dépression etc…
L’intégration des réflexes archaïques reprogramme le système nerveux, améliore le seuil de tolérance au stress et redonne au corps son plein potentiel.
Cette pratique peut s’effectuer auprès de bébés, d’enfants, d’adultes ou de seniors qui souhaitent améliorer un ou plusieurs des domaines suivants :
Cognitif
Attention, mémorisation, concentration (TDA-H), compréhension, pensée logique, organisation, lecture, écriture, troubles « dys » (dyslexie, dyscalculie, dyspraxie, dysorthographie), troubles du spectre autistique
Émotionnel
Gestion du stress, des émotions et des relations, troubles comportementaux, confiance en soi, respect de son espace personnel et de celui des autres, peurs, phobies, dépression, capacité d’avancer dans la vie et dans ses projets
Physique et postural
Coordination, équilibre, motricité fine, motricité globale, tics, bégaiement, placement de la langue, régurgitations, régulation posturale, démarche, mobilité, développement moteur, conscience du corps, tonus, allergies, énurésie